Collation saines


Une journée alimentaire idéale se compose de trois repas principaux, et si nécessaire d’une ou deux collations. Une collation, c’est un en-cas qui fournit de l’énergie entre deux repas, sans toutefois couper l’appétit pour le repas suivant. Il convient donc de ne consommer cette collation qu’en réponse à la sensation de faim, ce qui la différencie du grignotage. La totalité des collations ne devrait idéalement représenter que quinze pourcents des apports énergétiques totaux de la journée.

 

Le moment de la collation est également une bonne occasion de manger les aliments « oubliés » ou consommés en trop faible quantité aux autres repas, comme les légumes, les fruits ou les produits laitiers.

 

« Manger entre les repas ne contribue-t-il pas à la prise de poids ? ». Devrions-nous donc éviter les collations pour garder la ligne et préserver notre santé ? Ce n’est pas si sûr. Il a été prouvé que le nombre de repas pris sur la journée n’a pas d’effet sur notre poids pourvu que nos apports alimentaires couvrent mais ne dépassent pas nos besoins.

 

A condition de manger lentement et de bien mâcher, une collation entraine une sensation de satiété. La sensation de faim s’en voit atténuée lors du repas suivant et les portions consommées sont d’autant moins importantes.

 

Certaines personnes mangent quand elles ressentent de la colère, de l’anxiété mais aussi quand elles sont heureuses, non pas par faim mais parce que cela apporte du réconfort. Réconfort qu’il est facile de trouver dans du chocolat, des pâtisseries, des sucreries, etc. Ces aliments gras et/ou sucrés ne constituent pas des collations saines et leur consommation régulière favorise la plupart du temps une prise de poids.







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Le consensus belge sur le Syndrome de l'Intestin Irritable (SII) stipule que l'efficacité du régime pauvre en FODMAP dans le traitement des symptômes du SII est bien établie. Les études soulignent qu'il devrait être considéré comme une intervention soutenue et dirigée par un·e diététicien·ne spécialisé·e.
La fonction principale de l’intestin étant d’assurer l’assimilation des nutriments, les questions relatives à la nutrition peuvent être nombreuses pour les patients souffrant de MICI. En tant que diététicien, sur quelles informations pouvons-nous nous baser à l’heure actuelle, quel est notre rôle et celui de l’alimentation dans la prise en charge de ces pathologies complexes ?
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